Venez tôt, partez tard et faites de votre jeudi une belle fête.

Pop, rock et cocktails. Un menu qu’on ne présente plus, un menu pour les curieux.

8€ – sur place et en prévente

 BOB PASSION
(Montpellier, French Pop)

S’il était un personnage de cinéma, il serait sans doute l’anti-héros d’un film des frères Coen. Avec son romantisme maladroit et touchant, Bob Passion chante la mélancolie et la nostalgie.

«Mentalo» c’est le désir d’exprimer des sentiments jugés trop profonds pour être entendus dans la vie de tous les jours. À l’heure où montrer une quel conque sensibilité devient gênant pour certains, d’autres comme lui l’extériorise. Il voit en sa musique le moyen d’être lui-même et d’en faire quelque chose de fédérateur.

Autodidacte comme beaucoup d’artistes issus de la bedroom-pop, Bob cultive son indépendance artistique. C’est la raison pour laquelle il se reconnaît dans l’univers planant et léger de Mac Demarco – une figure tutélaire, un grand-frère un peu fou. Il partage avec lui l’attitude nonchalante de ceux qui, au fond, sont restés de grands enfants rêveurs.

Auteur, compositeur, producteur et interprète des 5 tires de ce premier Ep, Bob reste authentique et garde son innocence et sa naïveté à portée de mains.

 NASTY JOE
(Bordeaux, Post Punk, Indie Rock)

Connus pour avoir maintes fois souillé par leurs prestations scéniques les caves de la capitale mondiale de la vinasse, les trois bordelais sortent leur premier EP « Wann Ist NASTYJOE ? », véritable exercice de schizophrénie assumée. Le groupe dépeint dans ses textes, ses cauchemars les plus sombres, du souvenir d’un cirque baignant dans le sang, à l’expression d’une colère noire.

Pour illustrer le son de NASTYJOE, le plus simple est de vous imaginer une immense partouze anglaise schizophrénique qui sort de vos enceintes. Comment ça vous voyez pas ? C’est pourtant simple : foutez les Arctic Monkeys — période 2006 — dans une pièce remplie de bougies parfumées, et faites rentrer dans la pièce (à tour de rôle) le côté amer/romantique de Foals, la raideur des guitares de Television et la brutalité soyeuse d’IDLES. Poussez-les à copuler copieusement, et vous obtiendrez Wann IST NASTYJOE, un premier EP aussi romanesque que féroce, aussi sensible que foudroyant.”